• Prête-moi ton oeil !

    La saison 23-24

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    Juliette et Lou

    Wich is nice !

    Dans le partage de récits intimes, lus, chantés et dansés, les artistes créent un espace commun de leurs expériences de transition·s.

    Elles apprennent l'une de l'autre à travers le dialogue et la mise en mouvements improvisés de leurs fragilités, de leurs moods, de leurs euphories.

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    Cie Presque Rien

    Piski

    Les chorégraphes souhaitent faire se confronter l'atmosphère sombre de la mine et les couleurs vives, les pas énergiques du folklore. Les corps qui dansent au bal, tournoient et se pressent l'un contre l'autre exulteraient-ils de la même manière s'ils ne connaissaient pas l'épreuve profonde et épuisante du travail ?

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    Nathan

    Fado

    FADO est une ôde au départ et au déplacement. Résolument inspiré du chant traditionnel portugais et de ses mirages poétiques, presque flous, corps et texte se mêlent : une route vers l'inconnu, la prise de risque, le chemin vers une forme d'absence.

  • La saison 22-23

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    Zoé

    Epoxy

    Ce solo est une manière de rendre compte de ma perception face aux œuvres plastiques et de la manière dont elle se met en corps. Comment ce que la danseuse perçoit à un impact sur son corps ? Qu'est-ce que cela change dans son appréhension du mouvement ? La chorégraphe cherche à donner du sens à la perception par le geste, à mettre en lumière le lien entre les arts plastiques et chorégraphique.

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    Cie Seule à Plusieurs

    J'ai perdu mon âge en sautant à la corde

    Les artistes femmes parlent souvent du "tunnel de 50 ans", métaphore éloquente pour dire l'absence de rôles qui les invisibilise. Quelle place, alors, peuvent bien avoir les femmes plus vieilles encore, celles qui ont définitivement passé la date de péremption imposée par le monde du spectacle ? [...]

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    Maude

    Eurydice

    Orienté vers l'extérieur, le public est invité à prendre place dos à la danse avec la demande de ne pas se retourner, à l'instar d'Ovide dans le mythe. Dansant à l'intérieur de ce cercle, ils ne peuvent voir les mouvements de l'interprète qu'à travers un miroir de poche distribué à l'entrée.